L’une des caractéristiques de l’essor de la technique est de s’étendre à l’échelle planétaire puisque tout à l’heure actuelle vibre au rythme de la technique. . Les révolutions technologiques en effet, ont réaffirmé avec suprématie le projet cartésien en faveur de l’homme : « maître et possesseur de la nature ». Mais il est sans ignorer qu’aucune action humaine aussi bonne soit-elle ne va sans conséquence. Ainsi, au vue des exploits technologiques réalisé à vitesse exponentiels, le pouvoir démiurgique que possède dorénavant l’homme par l’entremise de la technique, déshumanise tant soit peu son être autre, son semblable en lui déniant la sacralité de son existence : la dignité humaine ; de même que la détérioration de l’environnement dans lequel il évolue. Faut-il donc laisser libre court à l’essor de la technique de cautionner le drame de notre existence ? D’où, notre analyse en dernier ressort préconise un réajustement du rapport entre l’homme et la technique qui a dérobé son savoir pour se placer sous le contrôle des machines. Ceci est également une invite de l’homme à subordonner la technique à sa raison et non le contraire.